La chiropraxie ou chiropractie

Le mot chiropraxie vient de la combinaison de deux mots grecs « kheir » dont la signification est tout simplement « main » et « praktikos » qui veut dire « mise en action ». La chiropraxie est une technique de soin naturelle très prisée. Elle consiste à réaliser des manipulations avec les mains nues dans le but de redonner le plein potentiel vital au patient. Celui qui le pratique est un véritable spécialiste : c’est le chiropracteur. Grâce aux manipulations, il est capable de libérer les nerfs et de supprimer tout blocage à l’origine des maux du patient. En effet, la chiropraxie se base sur une théorie qui considère que le système nerveux assure la liaison entre l’âme et le corps. Pour soigner les maux, elle n’a pas à recourir au médicament et encore moins à la chirurgie comme la médecine traditionnelle. Elle se sert surtout des capacités innées que notre propre corps dispose pour atteindre l’auto-guérison : on parle d’intelligence innée, une force qui accorde à l’individu sa capacité à s’auto-guérir.
Le rôle du chiropracteur, en tant que professionnel de santé à part entière, est de réaliser le diagnostic. Il aide aussi à prévenir et à traiter les différents maux appelés troubles neuro-musculo-squelettiques (appareil locomoteur). La chiropraxie est donc à la fois curative et préventive, tout dépend de la situation du patient. Le chiropracteur prend également en charge le traitement de tous les symptômes et conséquences de ces troubles. En effet, ils peuvent causer des dysfonctionnements importants, des douleurs plus ou moins graves et des difficultés à réaliser certains mouvements. Dans certains cas, le patient peut avoir besoin de l’intervention d’un médecin classique : le chiropracteur lui dira quel spécialiste consulter en cas de besoin. En outre, la chiropraxie est adaptée à tout le monde puisqu’il s’agit d’une méthode naturelle. Même les enfants de bas âge et les femmes enceintes peuvent être traités avec cette méthode. Bref, la consultation est réalisée en trois temps : détection, correction et prévention. Le chiropracteur peut utiliser l’anamnèse, les tests musculaires, l’imagerie médicale ou l’échographie pour en savoir plus sur l’état du patient.

Les bienfaits de la chiropraxie

Comme on a vu plus haut, la chiropraxie peut soigner ou prévenir certains troubles. Ses bienfaits sont très nombreux notamment de venir à bout de certaines douleurs ou symptômes physiques. A noter cependant que faire disparaître mes symptômes ne signifie pas forcément que l’origine des troubles est aussi éliminée. Néanmoins, cela permet d’affirmer la capacité du corps à s’auto-guérir. De nos jours, beaucoup de gens souffrant de douleur lombaire chronique ou aiguë ont recours à la chiropraxie. Ils peuvent témoigner de l’efficacité de cette technique puisqu’elle a permis de réduire considérablement les douleurs. De plus, les manipulations chiropratiques auraient des effets sur le long terme qui peuvent s’étendre jusqu’à un an et demi. Parmi les bienfaits de cette technique de soin naturelle, on peut aussi dire qu’elle soigne les céphalées. Elle est bien capable de soulager les douleurs et d’améliorer la vie des patients au quotidien d’après les études réalisées sur plusieurs d’entre eux. Certains ont même affirmé qu’ils étaient plus satisfaits avec la chiropraxie qu’avec leur programme de rééducation du cou en termes d’efficacité.
La chiropraxie, d’après des études, est aussi efficace pour soigner les hernies discales. Elle représente d’ailleurs une excellente option pour venir à bout des dysfonctions lombaires. Ce qui est bien avec cette méthode naturelle est qu’elle soit capable de limiter les symptômes de nombreux troubles. Elle vivement conseillé pour les personnes qui présentent les pathologies suivantes : cervicalgie, dorsalgie, torticolis, lombalgie, tendinite, vertiges, névralgie, etc. Par ailleurs, elle est bénéfique pour les sportifs, surtout les professionnels ou ceux qui pratiquent des activités physiques intensives. Bref, la chiropraxie peut faire le bonheur de tout individu dont la symétrie ou l’équilibre du corps est menacé par leurs activités au quotidien.

Un accompagnement sur mesure

L’infirmier s’occupe des personnes dépourvues de leur mobilité, dans son métier, il se charge des individus en état de dépendance, pendant une durée indéterminée. L’aide concerne l’accompagnement des patients dans leur quotidien. C’est le médecin traitant qui fournit les consignes permettant à ces derniers de bénéficier des soins pratiques au cours de leurs traitements. Après une opération, une séance de chimiothérapie, l’infirmier assiste les patients vulnérables, mais aussi les handicapés physiques ou mentaux ayant besoin de surveillance, et d’assistance. Parmi les missions qui lui sont confiées, l’infirmier se charge de procurer les soins aux malades, il applique les traitements selon les prescriptions du médecin, dispense les soins d’hygiène, garantit le suivi, jusqu’à ce qu’ils retrouvent la santé. Dans cette démarche, il encourage les patients en leur apportant le soutien moral nécessaire pour vite récupérer en force et en énergie. En dehors du cadre professionnel, l’infirmier peut être amené à s’occuper des papiers personnels et administratifs des patients.

Offres et prestations

Il n’est pas difficile d’accéder au service d’infirmier. Chaque région dispose d’un cabinet proche des patients ayant besoin d’assistance. En tenant compte des différentes prestations, on met la main sur les marges budgétaires, les avantages de souscrire au service. Il comprend généralement les soins de fin de vie à domicile. On fait référence à l’antibiothérapie, à l’installation de matériel de chimio, mais aussi à l’immunothérapie, il se charge de nourrir les malades par voie naturelle ou artificielle, s’occupe de la pose de perfusion intraveineuse. Les services impliquent plus que de la surveillance, les soins complexes touchent le lavage de sinus, les soins respiratoires, et les pansements.

Pureté et concentration

La haute concentration en CBD (61,1 % ici) permet de bénéficier pleinement des propriétés relaxantes et apaisantes de cette molécule. Le CBD est réputé pour favoriser la détente, réduire le stress et l’anxiété. Le consommateur éprouve une sensation de calme et de bien-être. La présence d’autres cannabinoïdes dans la résine de CBD 3x filtré une fois le procédé achevé (CBG, CBC et CBN), apporte des bénéfices complémentaires. Ces molécules agissent en synergie avec le CBD pour renforcer ses effets positifs. Elles ont notamment des propriétés anti-inflammatoires et analgésiques qui peuvent soulager les douleurs chroniques et les tensions musculaires, favorisant ainsi une meilleure relaxation.

La pureté du produit, garantie par la triple filtration, permet de le consommer avec sérénité. Grâce à l’élimination des impuretés et des composés indésirables, on profite pleinement des bienfaits des cannabinoïdes, sans ressentir d’effet secondaire indésirable. La consommation de ce produit est donc un moyen naturel de gérer son stress, de se détendre et de veiller à son bien-être au quotidien, sans risque de dépendance ni d’accoutumance.

Sa consommation

Privilégiez une consommation à faible dose au départ, quitte à l’augmenter progressivement jusqu’à trouver le dosage qui vous convient. Chacun réagit différemment au CBD, il est donc important d’y aller petit à petit. Consommez la résine de préférence le soir, une à deux heures avant le coucher, pour profiter de ses effets relaxants et vous offrir ainsi un sommeil de qualité. Vous pouvez aussi en prendre en journée si vous faites face à une situation stressante.
Le CBD peut se consommer de différentes manières :
• par ingestion (huile, gélules, infusions),
• par inhalation (vapotage)
• par voie sublinguale.

Choisissez la méthode qui vous convient le mieux, en sachant que les effets seront plus ou moins rapides et durables selon le mode de consommation. Soyez à l’écoute de votre corps et des sensations que vous éprouvez. Le CBD doit rester un allié de votre bien-être, pas une contrainte.

Des aménagements possibles dans le quotidien

L’aidant familial peut demander à son employeur de travailler à temps partiel ou d’adapter ses horaires de travail pour pouvoir remplir son rôle d’aidant. Cela permet à l’aidant d’assurer un accompagnement total à la personne âgée. L’aidant doit discuter de ces aménagements avec son employeur. Un dialogue constructif entre les deux parties est nécessaire pour trouver un équilibre entre les besoins de l’aidant et les contraintes de l’entreprise ou de l’administration. L’employeur peut refuser les aménagements demandés s’il pense qu’ils sont incompatibles avec les tâches que le salarié doit réaliser dans le cadre de sa fonction.

Le congé de solidarité familiale est un dispositif qui offre la possibilité aux salariés et aux agents de la fonction publique de se rendre disponibles pour accompagner un proche confronté à une maladie grave et dont le pronostic vital est engagé à court terme. Ce congé permet de consacrer du temps à son proche dans ses derniers moments de vie, sans pour autant perdre son emploi.

Un soutien financier

Il n’y a pas que les déductions d’impôt et les crédits d’impôt qui sont mis en place en faveur des aidants. L’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA) est une aide indirecte pour les proches aidants. Elle est versée aux personnes âgées de 60 ans et plus qui ont besoin d’assistance dans leur quotidien, en raison d’une perte d’autonomie. Cette allocation est versée par les conseils départementaux (les départements) et vise à couvrir une partie des dépenses liées à cette perte d’autonomie.

Les bénéficiaires ont 60 ans et plus, résidents en France et doivent être aidés pour accomplir les actes essentiels de la vie quotidienne. Le montant de l’APA est déterminé sur l’état d’autonomie du bénéficiaire, lequel est évalué à l’aide de la grille AGGIR (Autonomie Gérontologie Groupes Iso-Ressources). Celle-ci classe les personnes en six groupes, du plus autonome (GIR 6) au moins autonome (GIR 1).

L’APA peut être utilisée pour financer divers services, comme l’aide à domicile, l’accueil de jour, les aides techniques, les travaux d’adaptation du logement, etc. Mais, ce qui est intéressant dans ce dispositif, c’est que le proche aidant peut en recevoir une partie. En effet, la loi autorise le bénéficiaire de l’APA à choisir un proche pour l’assister dans les tâches prévues dans son plan d’aide et à le rémunérer pour cette aide. Néanmoins, ce proche ne peut pas être son conjoint, son partenaire de PACS ni son concubin(e).

Pour que le proche puisse être rémunéré au moyen de l’APA, il doit devenir le salarié de la personne âgée qu’il aide. Il va donc signer un contrat de travail tandis que la personne âgée s’engage à respecter les obligations liées au statut d’employeur. En devenant salarié, le proche aidant peut jouir de tous les droits sociaux inhérents à ce statut, dont :
• l’affiliation à la sécurité sociale,
• l’assurance retraite pour sa pension de retraite,
• le droit au chômage,
• des congés payés.

Lorsqu’une personne âgée demande à bénéficier de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) ou lors du renouvellement de celle-ci, une équipe médico-sociale évalue sa situation et ses besoins. Cette évaluation ne se limite plus aux seuls besoins de la personne âgée. Elle prend également en compte ceux de ses aidants, s’ils le souhaitent. Cela permet de proposer un soutien adapté aux proches aidants. Une fois les besoins des aidants identifiés, l’équipe médico-sociale les oriente vers des structures spécialisées de la région.

1. Définition

Cette pathologie s’agit d’une inflammation des sinus à cause de la présence d’un micro-organisme étranger. On peut distinguer plusieurs sinus, à savoir frontaux, maxillaires, ethmoïdes et sphénoïdaux.

Pour être plus clair, la sinusite est une inflammation de la muqueuse qui tapisse les sinus, autrement dit les cavités creusées se trouvant à l’intérieur des os de la face. Que soit la sinusite virale ou bactérienne, cette infection peut se présenter de manière aiguë, subaiguë ou chronique.

2. La durée d’une sinusite

En général une sinusite virale peut durer entre 3 et 7 jours. Avec un médicament adapté pour calmer les symptômes, la pathologie disparaît toute seule.

En ce qui concerne la sinusite aiguë, les symptômes disparaissent en moins de 2 semaines. Si la maladie dure plus de 3 mois, alors elle sera classée comme une sinusite chronique.

3. La contagiosité

La contagiosité de la maladie dépend du type de sinusites. Si on a affaire à une pathologie d’origine virale, alors celle-ci est vraiment contagieuse.

Par contre, les sinusites d’origines bactériennes ne sont pas contagieuses à moins qu’il y ait un contact direct avec des sécrétions.

4. Les causes

L’origine des sinusites est généralement attribuée aux virus ou bactéries envahissant et irritant la muqueuse. Cette pathologie peut concerner uniquement un seul sinus dans le cas d’une infection ponctuelle. Ceci peut toucher le sinus maxillaire, frontal, ethmoïdal ou sphénoïdal.

Mais dans certains cas, les deux sinus peuvent aussi être touchés.

5. Les symptômes

La plupart du temps, les sinusites se manifestent par un écoulement clair ou purulent, de la fièvre ainsi que des maux de tête situés généralement au niveau des sinus atteints.

Pour une sinusite aiguë, ce sont les sinus maxillaires qui sont souvent touchés. En effet, il est rare de voir le sinus frontal, ethmoïdal ou sphénoïdal infecté par les bactéries ou les virus. Comme symptômes fréquents, il y a une congestion nasale avec un écoulement clair ou purulent, une douleur localisée au niveau des sinus et derrière les pommettes ainsi que de maux de tête diffus.

Quant aux sinusites chroniques, les causes peuvent provenir d’une allergie aux acariens ou aux pollens par exemple. Et ce type de sinusite peut se surinfecter et se transformer en une forme aiguë.

6. Les traitements possibles

Pour une sinusite virale, des médicaments comme du paracétamol sont suffisants pour atténuer les symptômes.

Si vous faites face à une sinusite bactérienne, alors des antibiotiques peuvent être nécessaires pour éliminer les symptômes.

Les huiles essentielles et certaines plantes sont de bonnes alliées pour lutter contre la sinusite. Parmi les plantes que vous pourrez utiliser, on peut retrouver l’eucalyptus, le pin sylvestre ainsi que l’échinacée. Toutefois, il faut faire attention. Dans la mesure du possible, prenez l’avis de votre médecin ou pharmacien avant un quelconque traitement phytothérapique.

Éloignez-vous des facteurs de stress

Le stress est causé par une action, une personne ou encore un événement incontrôlable. Pour éviter de tomber dans cette spirale infernale, prenez les mesures qui s’imposent et éloignez-vous de vos sources de stress. A titre d’exemple, si votre patron est le facteur de stress le plus récurent de votre vie, pour votre santé mentale, demandez à la RH de vous changer de département ou de quitter votre travail. De même, si l’incertitude est la cause majeure de votre état de stress, apprenez à anticiper.

Apprenez le lâcher prise

C’est un conseil très efficace pour combattre le stress. Or, il est difficile de réellement y parvenir seul(e). Il vous faut une personne capable de vous aider à comprendre et à maîtriser les fondamentaux du lâcher prise. Deux possibilités s’offrent à vous :

• Demandez l’aide d’un psychologue ;
• Faire du yoga.

Que ce soit l’un ou l’autre de ces moyens, les bénéfices sont visibles après quelques séances. En moyenne, une consultation d’une heure chez un psy vous coûtera dans les 50 euros. En revanche, l’abonnement à des cours de yoga sera moins onéreux.

Tournez-vous vers la Super Skunk

La Super Skunk est une variété de cannabis largement utilisée dans le CBD comme antistress et antidépresseur. Elle fait partie des produits CBD les plus recherchés du marché et sa vente est très réglementée. Les effets de la Super Skunk sont rapides et puissants.

Grâce à elle, de nombreux patients souffrant de stress et de dépression ont pu reprendre une vie normale. Il est à noter que pour acheter la Super Skunk, il est impératif de détenir une ordonnance médicale et de vous rendre dans des boutiques physiques ou en ligne spécialisées et agréées ou vous renseignez sur https://www.leblogcbd.fr/super-skunk-feminisee/. Attention, une consommation régulière et à forte dose peut engendrer une dépendance.

Partez en voyage

Le voyage forge la jeunesse, mais s’éloigner un peu de votre quotidien vous aidera surtout à combattre et à maîtriser votre stress. Ne réfléchissez pas trop, prenez votre passeport et partez vers la destination de votre choix. Si l’international est encore trop cher, misez sur de petites escapades en week-end. Non seulement, cela vous permettra de rencontrer de nouvelles personnes, mais également de calmer votre anxiété. Pour un séjour low cost, optez pour des vacances en groupe ou entre amis(es) !

Pratiquez une activité sportive

Ce n’est ni le temps, ni les activités sportives qui manquent. Rien ne vous empêche donc (mis à part la procrastination) de vous lancer le défi de commencer à pratiquer un sport. Il est bien connu que cette méthode fonctionne au niveau de la maîtrise et l’éradication du stress. Parmi les sports les plus appréciés des patients :

• Le tennis ;
• La natation ;
• La zumba ;
• Le fitness ;
• La musculation ;
• Le vélo ;
• Le foot ;
• Le basket.

Le principe de cette technique est simple : un esprit sain, dans un corps sain.

Le transport avant les funérailles

La mise en bière consiste à placer le défunt dans un cercueil. Le transport du corps avant cet acte est appelé transport à visage découvert. C’est le premier transfert du corps allant du lieu du décès jusqu’à son domicile ou à une chambre funéraire.

Ce déplacement doit se faire dans les 48 heures après le décès. S’il risque de perdurer, des soins de conservation du corps seront obligatoires.

Les pompes funèbres se chargent du transport en général lors des obsèques, y compris les déplacements avant la mise en bière. Ici, elles utiliseront d’abord une voiture spécialisée, généralement équipée d’un caisson réfrigérant.

Le transport pour l’enterrement

Maintenant, le corps est déjà placé dans un cercueil. Après les funérailles, il sera alors conduit vers le lieu de culte, puis au cimetière. En général, ce transport est effectué par un corbillard. Sinon, il y a aussi d’autres véhicules qui sont déjà adaptés pour ce type de déplacement.

Dans le cas où un transfert à l’étranger serait nécessaire, il existe d’autres moyens de transport. La famille du défunt peut alors opter pour le transport aérien ou pour le transport routier. Dans les deux cas, un certificat de décès doit être établi et fourni.

À noter que le rapatriement vers certains pays étrangers demande obligatoirement des soins de conservation du corps.

Pour alléger la douleur et les peines des familles, les pompes funèbres se chargent de toutes les formalités concernant le transport. Ces entreprises les accompagnent également dans les autres tâches à réaliser. En cas de décès de l’un de vos proches, vous pouvez voir toutes les démarches importantes ici. Ainsi, malgré la perte que vous venez de subir, vous saurez tout de même comment vous organiser.

L’ail

Si vous avez de l’ail dans votre cuisine et que vous êtes en proie à un mal de dents, sachez que cet ingrédient peut quelque peu soulager votre douleur. En effet, l’ail est connu pour avoir des vertus anti-inflammatoires et anesthésiantes. Pour l’utiliser, il suffit de prendre deux gousses et de les broyer pour en faire une pâte. Cette dernière sera à appliquer pendant quelques minutes sur la dent endolorie avant d’être recrachée après 5 minutes. Cette méthode est toutefois à éviter si vos muqueuses sont fragiles ou si vous êtes sensible à l’ail.

Le thé noir

Étant donné ses nombreuses vertus, le thé noir fait partie des ingrédients qui devraient avoir une place dans votre cuisine. Il favorise une meilleure digestion, réduit le cholestérol et améliore aussi l’hygiène dentaire. Il peut ainsi vous soulager en cas de douleur dentaire. Pour cela, prenez un sachet de thé noir et imbibez-le d’eau chaude. Retirez l’excédent d’eau et appliquez le thé sur la dent douloureuse ainsi que sur la gencive. Grâce aux tanins astringents présents dans le thé, les tissus de la gencive se resserreront, réduisant ainsi la sensation de douleur. Laissez le thé appliqué pendant 5 minutes avant de le retirer. Vous pouvez répéter plusieurs fois cette opération en cours de journée.

Les autres solutions

Si vous n’avez aucun des ingrédients cités plus haut, vous pouvez tenter de calmer la douleur en brossant régulièrement la dent avec une brosse douce. Le brossage permet de réduire la formation de bactéries et empêche ainsi l’inflammation de gagner en ampleur. Vous pouvez aussi prendre un bain de bouche à base de sel et de bicarbonate de sodium pour vous rincer la bouche. Il faudra toutefois se limiter à deux bains par jour.

A quoi sert la prévoyance obsèques ?

Grâce à la prévoyance obsèques, vos proches perçoivent des revenus après votre décès. Selon le contrat, votre conjoint et vos enfants peuvent recevoir une rente chaque mois. Jusqu’à 18 ans, ou 26 ans en cas de poursuite d’études, vos enfants reçoivent une rente d’éducation. Ou bien, votre famille reçoit un capital garanti qui est fixé lors de la signature du contrat d’assurance décès.

En fonction de votre contrat, les garanties qui y sont stipulées sont effectives peu importe la cause de votre décès. Pour ne pas mettre votre famille dans l’embarras financier, il est conseillé de souscrire une telle prévoyance obsèques le plus tôt possible. Par exemple, faites-le dès que vous fondez une famille. D’ailleurs, plus vous vous y prenez à l’avance, plus vous bénéficiez de meilleures conditions contractuelles, renseignez-vous sur prevoyances-obseques.fr.

Souscrivez un contrat de prévoyance obsèques

Vous serez plus serein et votre famille aussi avec un contrat de prévoyance obsèques. Même si la Sécurité sociale verse des indemnités à la famille d’un défunt, celles-ci s’avèrent être souvent trop faibles. Désignez clairement le.s bénéficiaire.s de votre contrat pour que votre famille puisse faire face aux différentes dépenses courantes. Notez que vous pouvez inclure vos frais d’obsèques dans la prévoyance obsèques.

Vous pouvez prévoir le versement d’un capital à vos bénéficiaires pour qu’ils se chargent des obsèques, de l’organisation des funérailles, etc. Sinon, votre contrat peut également prévoir qu’un opérateur funéraire s’occupe de tout, de A à Z. Le deuxième type de contrat peut être plus avantageux pour vos proches qui pourront se consacrer à leur deuil. Ils n’auront pas à effectuer le gros des formalités et démarches, des professionnels le font à leur place. Pensez dès aujourd’hui à souscrire un contrat de prévoyance obsèques.

Mettez les informations obligatoires

Il existe quelques informations qui doivent apparaître sur un avis de décès :

. Le nom du défunt/de la défunte ;
. La cause du décès ;
. La date de son décès et de son enterrement ;
. L’heure de la levée du corps ;
. Les informations utiles sur le déroulement de la cérémonie d’obsèques ;
. L’existence ou non d’un registre de condoléances.

Si le défunt/la défunte a émis une dernière volonté envers la famille ou la communauté, il est recommandé de l’écrire dans le faire-part. De plus, si la famille détient des indications particulières au sujet de la cérémonie (aucune fleur, pas de musique, etc.), n’hésitez pas non plus à le préciser. Besoin d’autres indications sur le sujet ? Rendez-vous sur carnet.leparisien.fr !

Confectionnez le faire-part vous-même

Si auparavant, la confection des faire-part de décès incombait à certains établissements, il est désormais possible de le faire vous-même. Pour ce faire, vous n’aurez besoin que d’un accès internet, d’une imprimante et d’un peu d’imagination. De nombreuses applications proposent des modèles d’avis de décès que vous pourrez utiliser. Il suffira d’imprimer.

Sinon, si vous souhaitez payer les prestations d’un professionnel, le tarif moyen de 50 faire-part est de 70 euros. Par exemple si vous décidez de confier l’organisation des funérailles à une agence de pompes funèbres, cette dernière peut se charger de la rédaction de l’avis de décès. Épluchez ce carnet d’adresse pour trouver une agence de pompes funèbres professionnelle près de chez vous, notamment si vous êtes dans le Bas-Rhin.

Utilisez des termes classiques dans le faire-part

Des formules classiques sont d’usage lors de la publication d’un avis de décès. A la suite de la mention des membres de la famille proche du défunt, il est d’usage d’utiliser l’une des formules suivantes :

. ont la profonde douleur de vous faire-part du décès de… ;
. ont la grande peine de faire part du décès de leur très regretté(e)… ;
. ont l’immense tristesse de vous faire part du décès de… ;
. font la grande peine de faire part du décès de leur très regretté(e)… ;
. font la grande peine de faire-part du décès de leur très regretté(e)… ;

Publiez l’annonce

C’est la dernière étape et celle qui est la plus importante. Auparavant, il n’y a eu qu’un seul moyen de publication, mais un deuxième a vu le jour au fur et à mesure de l’évolution de la technologie.

. La publication d’un faire-part de décès sur les réseaux sociaux

C’est la version électronique de l’avis de décès classique. Vous reprenez les mêmes termes et les mêmes mises en forme, la seule différence réside dans le moyen de communication.

. La publication dans le journal

Il s’agit de presse écrite. Vous pouvez opter pour un journal local, régional ou national si le défunt était très connu. Cet acte valorise la vie du défunt aux yeux de la commune. La famille peut se charger de la publication eux-mêmes ou laisser cette charge à une agence de pompes funèbres. Le prix d’une publication d’avis de décès dans la presse écrite coûte aux environs de 20 euros par ligne.