Le transport avant les funérailles

La mise en bière consiste à placer le défunt dans un cercueil. Le transport du corps avant cet acte est appelé transport à visage découvert. C’est le premier transfert du corps allant du lieu du décès jusqu’à son domicile ou à une chambre funéraire.

Ce déplacement doit se faire dans les 48 heures après le décès. S’il risque de perdurer, des soins de conservation du corps seront obligatoires.

Les pompes funèbres se chargent du transport en général lors des obsèques, y compris les déplacements avant la mise en bière. Ici, elles utiliseront d’abord une voiture spécialisée, généralement équipée d’un caisson réfrigérant.

Le transport pour l’enterrement

Maintenant, le corps est déjà placé dans un cercueil. Après les funérailles, il sera alors conduit vers le lieu de culte, puis au cimetière. En général, ce transport est effectué par un corbillard. Sinon, il y a aussi d’autres véhicules qui sont déjà adaptés pour ce type de déplacement.

Dans le cas où un transfert à l’étranger serait nécessaire, il existe d’autres moyens de transport. La famille du défunt peut alors opter pour le transport aérien ou pour le transport routier. Dans les deux cas, un certificat de décès doit être établi et fourni.

À noter que le rapatriement vers certains pays étrangers demande obligatoirement des soins de conservation du corps.

Pour alléger la douleur et les peines des familles, les pompes funèbres se chargent de toutes les formalités concernant le transport. Ces entreprises les accompagnent également dans les autres tâches à réaliser. En cas de décès de l’un de vos proches, vous pouvez voir toutes les démarches importantes ici. Ainsi, malgré la perte que vous venez de subir, vous saurez tout de même comment vous organiser.

A quoi sert la prévoyance obsèques ?

Grâce à la prévoyance obsèques, vos proches perçoivent des revenus après votre décès. Selon le contrat, votre conjoint et vos enfants peuvent recevoir une rente chaque mois. Jusqu’à 18 ans, ou 26 ans en cas de poursuite d’études, vos enfants reçoivent une rente d’éducation. Ou bien, votre famille reçoit un capital garanti qui est fixé lors de la signature du contrat d’assurance décès.

En fonction de votre contrat, les garanties qui y sont stipulées sont effectives peu importe la cause de votre décès. Pour ne pas mettre votre famille dans l’embarras financier, il est conseillé de souscrire une telle prévoyance obsèques le plus tôt possible. Par exemple, faites-le dès que vous fondez une famille. D’ailleurs, plus vous vous y prenez à l’avance, plus vous bénéficiez de meilleures conditions contractuelles, renseignez-vous sur prevoyances-obseques.fr.

Souscrivez un contrat de prévoyance obsèques

Vous serez plus serein et votre famille aussi avec un contrat de prévoyance obsèques. Même si la Sécurité sociale verse des indemnités à la famille d’un défunt, celles-ci s’avèrent être souvent trop faibles. Désignez clairement le.s bénéficiaire.s de votre contrat pour que votre famille puisse faire face aux différentes dépenses courantes. Notez que vous pouvez inclure vos frais d’obsèques dans la prévoyance obsèques.

Vous pouvez prévoir le versement d’un capital à vos bénéficiaires pour qu’ils se chargent des obsèques, de l’organisation des funérailles, etc. Sinon, votre contrat peut également prévoir qu’un opérateur funéraire s’occupe de tout, de A à Z. Le deuxième type de contrat peut être plus avantageux pour vos proches qui pourront se consacrer à leur deuil. Ils n’auront pas à effectuer le gros des formalités et démarches, des professionnels le font à leur place. Pensez dès aujourd’hui à souscrire un contrat de prévoyance obsèques.

Mettez les informations obligatoires

Il existe quelques informations qui doivent apparaître sur un avis de décès :

. Le nom du défunt/de la défunte ;
. La cause du décès ;
. La date de son décès et de son enterrement ;
. L’heure de la levée du corps ;
. Les informations utiles sur le déroulement de la cérémonie d’obsèques ;
. L’existence ou non d’un registre de condoléances.

Si le défunt/la défunte a émis une dernière volonté envers la famille ou la communauté, il est recommandé de l’écrire dans le faire-part. De plus, si la famille détient des indications particulières au sujet de la cérémonie (aucune fleur, pas de musique, etc.), n’hésitez pas non plus à le préciser. Besoin d’autres indications sur le sujet ? Rendez-vous sur carnet.leparisien.fr !

Confectionnez le faire-part vous-même

Si auparavant, la confection des faire-part de décès incombait à certains établissements, il est désormais possible de le faire vous-même. Pour ce faire, vous n’aurez besoin que d’un accès internet, d’une imprimante et d’un peu d’imagination. De nombreuses applications proposent des modèles d’avis de décès que vous pourrez utiliser. Il suffira d’imprimer.

Sinon, si vous souhaitez payer les prestations d’un professionnel, le tarif moyen de 50 faire-part est de 70 euros. Par exemple si vous décidez de confier l’organisation des funérailles à une agence de pompes funèbres, cette dernière peut se charger de la rédaction de l’avis de décès. Épluchez ce carnet d’adresse pour trouver une agence de pompes funèbres professionnelle près de chez vous, notamment si vous êtes dans le Bas-Rhin.

Utilisez des termes classiques dans le faire-part

Des formules classiques sont d’usage lors de la publication d’un avis de décès. A la suite de la mention des membres de la famille proche du défunt, il est d’usage d’utiliser l’une des formules suivantes :

. ont la profonde douleur de vous faire-part du décès de… ;
. ont la grande peine de faire part du décès de leur très regretté(e)… ;
. ont l’immense tristesse de vous faire part du décès de… ;
. font la grande peine de faire part du décès de leur très regretté(e)… ;
. font la grande peine de faire-part du décès de leur très regretté(e)… ;

Publiez l’annonce

C’est la dernière étape et celle qui est la plus importante. Auparavant, il n’y a eu qu’un seul moyen de publication, mais un deuxième a vu le jour au fur et à mesure de l’évolution de la technologie.

. La publication d’un faire-part de décès sur les réseaux sociaux

C’est la version électronique de l’avis de décès classique. Vous reprenez les mêmes termes et les mêmes mises en forme, la seule différence réside dans le moyen de communication.

. La publication dans le journal

Il s’agit de presse écrite. Vous pouvez opter pour un journal local, régional ou national si le défunt était très connu. Cet acte valorise la vie du défunt aux yeux de la commune. La famille peut se charger de la publication eux-mêmes ou laisser cette charge à une agence de pompes funèbres. Le prix d’une publication d’avis de décès dans la presse écrite coûte aux environs de 20 euros par ligne.

Qu’est-ce qu’une thanadoula ?

La principale mission d’une thanadoula est d’accompagner une personne et sa famille dans les derniers moments qu’ils passent ensemble. Il est à noter que ce professionnel n’appartient pas au corps médical. En plus de l’accompagnement, ses missions consistent à aider la famille dans l’organisation des funérailles ainsi que dans le passage douloureux du deuil.

La doula de fin de vie reçoit une formation spécifique. Dans cette optique, elle est en mesure d’aborder des questions qui sont considérées comme taboues et délicates. Étant donné que ce métier est à vocation humaine, l’empathie est la principale qualité requise. A cela s’ajoute une grande capacité d’écoute et de la bienveillance.

Toutefois, la formation d’une thanadoula n’est pas certifiée. Ce professionnel peut aussi bien exercer son métier au domicile du patient qu’en maison de retraite ou encore dans un hôpital. Pour vous renseigner, ici vous trouverez toutes informations relatives à cette profession.

Une pratique encore méconnue

En France, ce métier est encore méconnu, voire très rare. Il faut dire que cette profession n’est qu’à ses débuts. Mais actuellement, certains organismes dispensent des programmes de formation en vue de devenir doula de fin de vie. Dans les cultures anglo-saxonnes, la thanadoula a désormais sa place.

La Suisse est en train de mettre en place une formation certifiante dans ce domaine. Face à cette expansion, on pourra dire que cette profession sera de plus en plus connue en France, le but étant de démystifier la mort et de la rendre moins effrayante.

Comment devenir thanadoula ?

La profession de thanadoula n’est pas du tout aisée, car l’accompagnement des personnes en fin de vie est loin d’être facile. Il faudra donc faire preuve d’une stabilité émotionnelle sans pareille pour pouvoir soutenir les personnes. En effet, elle ne doit pas se laisser submerger par ses propres émotions.

Comme mentionné précédemment, une formation est requise pour devenir thanadoula. Au cours de cet apprentissage, ce professionnel apprendra les concepts ainsi que les bases du savoir, du savoir-être et du savoir-faire de l’accompagnement en fin de vie. Elle sera également formée pour proposer des services entièrement personnalisés en fonction de la situation de chaque patient.

Services offerts par une thanadoula

La thanadoula a pour rôle d’accompagner le patient et ses proches avant, pendant et après la mort. Ses services peuvent s’assimiler à ceux d’un aide-soignant en restant aux côtés de la personne lorsque ses proches sont occupés à vaquer à leurs occupations. Étant une parfaite intermédiaire, la thanadoula est un pilier de la communication.

Selon les demandes de ses clients, elle peut aider à la création d’adieux. Elle peut également donner le bain et habiller le défunt. Elle est également un excellent allié pour effectuer toutes les démarches et les procédures inhérentes à l’organisation de funérailles.

Préparez-vous tout au long de votre grossesse

Afin de vivre un accouchement le moins douloureux possible, il faut vous préparer tout au long de votre grossesse. N’attendez pas d’être à quelques semaines de l’accouchement pour commencer à prendre des cours de préparation à l’accouchement. Bien que vous ayez une santé de fer, une bonne constitution, il est impossible de prévoir ce qui se passera réellement le jour J. Même si vous pensez que vous êtes une personne qui supporte facilement les douleurs, ne présumez de rien, car la douleur pendant le travail augmente au fur et à mesure que le col de l’utérus se dilate et que bébé s’avance pour sortir. Il peut donc arriver que vous ne supportiez pas la douleur. Alors, soyez prévoyant et suivez tous les conseils pour gérer la douleur pendant l’accouchement. Il convient aussi de noter que la grossesse peut se dérouler dans les meilleures conditions, mais qu’au moment du travail, une dernière échographie montre que le cordon ombilical s’est enroulé autour du cou de votre bébé, et il faudra passer par la césarienne. Pour toutes ces raisons, il faut une bonne préparation. Il est question bien sûr d’une préparation physique, car il faut que vous soyez en pleine forme durant votre grossesse et pendant l’accouchement. Il faut aussi une préparation mentale. Il faut être assez forte pour oublier la douleur et se focaliser sur la venue de votre bébé. Pour rester courageuse, entourez-vous le plus possible des personnes qui vous aiment et que vous aimez. Vous puiserez le courage dont vous aurez besoin dans leur amour, le moment venu. En tout cas, les cours de préparation à l’accouchement ne doivent également pas être ratés. L’on vous expliquera ce qui va se passer pendant l’accouchement. On vous dira comment savoir quand il faut se rendre à l’hôpital, comment respirer pour accoucher avec le moins de douleur possible, etc.

Des techniques pour moins souffrir

Vous trouverez sur accouchement-naturel.com diverses solutions pour gérer la douleur pendant l’accouchement. Outre ces astuces, pour accoucher sans douleur, la sophrologie se présente comme l’une des techniques les plus efficaces. Cette méthode vous apprend à vous détendre suffisamment et à respirer correctement lors des contractions. Le but de cette technique, c’est de vous amener à vous concentrer sur des pensées positives, sur des scènes agréables, sur des images de votre enfant à venir, afin que votre perception de la douleur soit atténuée. En effet, plus vous portez votre attention sur ce qui fait plaisir, moins il y a de la place pour d’autres sensations.

Certaines futures mamans optent également pour l’accouchement sous hypnose pour avoir moins mal. Mais il y a aussi la péridurale. C’est très efficace et peut être la solution ultime si vous êtes trop épuisée par le travail et si les douleurs deviennent insupportables. Votre sage-femme vous expliquera comment l’injection se fera, combien de temps cela durera et au bout de combien de temps elle agira. Elle vous rassurera également sur le fait que la péridurale ne vous causera aucun tort, ni à vous ni à votre bébé. Préparez-vous au mieux et vous verrez, vous tiendrez très bientôt votre beau bébé dans vos bras.

Qu’est-ce qu’un scanner médical ?

Il s’agit d’un appareil d’imagerie qui fonctionne au rayon X. La machine est essentiellement composée d’un lit et d’un anneau. À l’intérieur de l’anneau se trouve le tube à rayon X. Ce dernier tourne alors autour du patient afin d’obtenir des images qui seront étudiées par les médecins par la suite.

À quoi sert-il ?

Le scanner médical permet de faire des examens tomodensiométriques (ou TDM). En d’autres termes, il permet de détecter différents types d’anomalies internes comme les tumeurs ou les infections. L’appareil à scanner permet donc de voir les éventuels dysfonctionnements qui ne peuvent pas être détectés à partir des appareils d’imagerie standard. Le scanner médical permet de voir précisément où se trouve l’anomalie ainsi que sa caractéristique. Par conséquent, il facilite l’établissement de diagnostic exact. L’appareil est aussi souvent utilisé pour la réalisation des interventions de type biopsie ou ponction. Il sert de guide pour les spécialistes afin de bien voir les organes internes. Pour finir, un scanner médical permet aussi de constater les résultats d’un traitement sur un patient et de surveiller l’évolution.

Le passage dans un scanner médical présente-t-il des risques ?

Il n’y a pas de grands risques auxquels on est exposé lors de cet examen. En effet, le rayon X utilisé par l’appareil est faible. Par conséquent, il n’entraine pas des effets indésirables sur les patients. Par contre, une réaction allergique peut se produire liés à l’injection du produit de contraste. Avant de faire un scanner médical, il est donc important de bien préciser à votre médecin tous vos antécédents allergiques par rapport aux composants des produits médicaux. Aussi, il est conseillé de boire abondamment d’eau avant de faire un scanner pour éviter le risque de déshydratation.

Soulagez vos proches

Comme dit précédemment, la douleur provoquée par votre décès peut bloquer vos proches. Ménagez-les et évitez de leur faire prendre des décisions difficiles lors de ce jour si sombre. Pour cela, rédigez vos dernières volontés dans un document comprenant également vos papiers comme le livret de famille. Ce texte doit notamment préciser si vous souhaitez faire don de vos organes. Indiquez également les conditions dans lesquelles vous désirez être inhumé si vous avez des demandes spéciales. Grâce à ces indications, organiser vos obsèques sera plus facile et moins éprouvant. Il peut aussi se révéler intéressant de concevoir un recueil concernant la répartition de vos biens. Le testament possède plusieurs utilités. Il guide votre famille dans la gestion de votre patrimoine. Il permet aussi d’éviter les conflits de succession. À noter qu’il doit être rédigé par un notaire et conservé au Fichier Central des Dernières Volontés.

Prévoyez la cérémonie

Les obsèques peuvent engendrer d’importants frais pour vos proches. Heureusement, il existe des solutions pour les aider à prendre en charge cette cérémonie. Pour cela, il vous suffit de souscrire à un contrat obsèques. Celui-ci vous permet de constituer un capital pour financer l’entreprise de pompes funèbres qui s’occupera de votre inhumation. A l’instar de Funérama, l’entreprise de pompes funèbres à Grasse, les pompes funèbres en France proposent toujours des devis. Vous pouvez utiliser ce service afin d’avoir une idée de la somme nécessaire à mettre de coté. Vous pouvez organiser tout cela lorsque vous prenez de l’âge ou que votre état de santé devient critique.